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Sarah Biasini comédienne
30 janvier 2009

SARAH

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27 janvier 2009

AJOUT DE PHOTOS DANS L'ALBUM SORTIES

AJOUT DE PHOTOS DANS L'ALBUM SORTIES

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27 janvier 2009

Soirée One & Only 2008

Musée BACCARAT - paris -

27 janvier 2009

Soirée "DUBAI"

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25 janvier 2009

Noir et blanc

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Ces photographies proviennent du site de l'Agence Cinéart

lien : http://www.cineart.fr/Talents/cv/biasini-sarah-1354

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24 janvier 2009

Journal télévisé 2005

20 janvier 2009

15 février 2007

Avant-première du téléfilm : Nous nous sommes tant haïs

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Pawel Delag et Sarah Biasini

interview de sarah biasini

magazine OÖNACHRICHTEN du 23 septembre 2006

Elle n'avait pas encore cinq ans, quand elle a perdu sa mère, Romy Schneider. Depuis trois ans, Sarah Biasini marche sur ses traces.

Après "Julie, chevalier de Maupin" Sarah Biasini (29 ans) tourne maintenant son deuxième film pour la télévision. Pour la coproduction franco-autrichienne "Nous nous sommes tant haïs" (Alechemic Productions/Adi Mayer film) elle a passé quelques jours à Vienne devant la caméra. OÖN l'a rencontré pendant la pause-déjeûner.

OÖN : Habituellement, vous êtes toujours beaucoup questionnée sur votre mère. Pour une fois, nous parlerons de votre père Daniel Biasini chez qui vous avez grandi...


Sarah Biasini : Il a toujours été un père merveilleux. Si une seule personne est présente pour élever un enfant, il essaie de donner de l'amour pour deux. Il y avait aussi ses parents, son frère, le frère de ma mère et sa fille se sont inquiétés pour moi. Jai été entourée de plus de 200% d'amour et étais très heureuse.

OÖN : Quels rapports avez-vous aujourd'hui avec votre père ?


Sarah Biasini : Très proches. C'est lui que j'appelle, si je me sens en danger ou mal et il sait chaque fois me remonter. Je voudrais souhaiter un tel père à tout le monde.

OÖN : Quand avez-vous quitté le domicile familial et comment avez-vous appris à votre père que vous vouliez devenir actrice ?


Sarah Biasini : J'avais 22 ans quand j'ai acheté mon propre appartement. Et le désir d'une profession : j'avais étudié l'histoire de l'art, mais pour moi, il devenait clair que je voulais quelque chose de tout à fait différent. Je n'osais pas lui en  parler, et j'en ai beaucoup discuté avec sa mère qui m'a mis en garde, naturellement. Un jour, je devais forcément lui en parler et il a beaucoup hésité, comme si ce désir est encore rejeté : "Si tu es sûre ... j'aurais préféré... Cependant ... Pourquoi ne pas continuer tes études..." Il me regardait et pensait : "Non, non. Même, si je voulais te protéger contre la terre entière, tu as du plaisir avec cela - alors fais-le. Et si tu veux devenir absolument actrice, alors essaie." J'étais très heureuse naturellement, parce que je savais : j'étais au pied du mur, cela devait être simple !

OÖN : Quand en avez-vous pris la la décision définitive ?


Sarah Biasini : Il y a cinq ans. Mais j'avais peur de faire une école de spectacle en France, donc je me suis inscrite un an au Lee Strasberg Institute à Los Angeles. Ensuite, j'ai trouvé un agent, et c'est allé très vite. J'ai été engagée pour "Julie, chevalier de Maupini". Je devais non seulement jour, mais aussi chanter, danser, faire du cheval et de l'escrime. Cela me plaisait.

OÖN : Votre mère avait des amis comme par exemple Alain Delon ou Michel Piccoli. Avez pris vous pris des astuces auprès d'eux ?


Sarah Biasini : Non, mais avec le metteur en scène Claude Sautet qui a tourné cinq de ses meilleurs films ("Les choses de la vie","César et Rosalie","Max et les ferrailleurs"). Je faisais mes études quand je l'ai rencontré - il est mort en 2000. Je n'ai pas osé lui parler du désir qui sommeillait déjà en moi. Nous avons parlé de ses films et avons ri pendant 1 heure et demi et nous avons pleuré.

OÖN : Quels films de votre mère aimez-vous particulièrement ?


Sarah Biasini : Comme je l'ai dit, ceux de Claude Sautet. Et "What's new, Pussycat ?"

OÖN : Et "Sissi" ?


Sarah Biasini : C'était sans aucun doute un pas important pour sa carrière et cela convenait à son âge, elle a apporté dans ce rôle non seulement son visage d'ange, mais encore beaucoup d'elle-même.

OÖN : Vous souvenez-vous encore des moments avec votre mère ?


Sarah Biasini : Oui. Des petits-déjeuners au lit, des chatouilles et des jeux de cache-cache, des combats de boxe pour rire. Je le faisais aussi avec mon père.

OÖN : Vous avez déjà aussi joué au théâtre ?


Sarah Biasini : Oui, dans "Pieds nus dans le parc" à Paris. Je voudrais continuer dans cette voie et je cherche actuellement une pièce pour 2007.

OÖN : Avez-vous suivi aussi le championnat du monde de football ?


Sarah Biasini : Oh oui ! Et lors la finale, je n'en croyais pas mes yeux. J'étais vraiment choquée par ce qui s'est passé autour de et avec Zinedine Zidane.

OÖN : Vous êtes-vous senti bien à Vienne ?


Sarah Biasini : Extraordinairement bien. J'ai profité de mon temps libre pour explorer la ville, j'ai trouvé formidable les représentations à l'opéra sur la place d'Hôtel de ville, j'ai bu les spécialités de thés et j'ai joui de l'atmosphère du Café Sperl, où l'on se sent encore comme au 19ème siècle. Je suis très triste de partir. Mais je peux revenir en tant que touriste.

OÖN : Etes vous superstitieuse ?


Sarah Biasini : Je connais toutes les superstitions et j'essaie toujours de faire le contraire. Mais, peut-être, qu'il ne s'agit que d'un "signe". J'ai  déjà éprouvé celà une fois. J'étais avec un ami au Portugal, je visitais le merveilleux Sintra  à proximité de Lisbonne. Un an plus tard, j'étais engagé pour "Julie", j'ai regardé le plan de tournage et j'y ai trouvé exactement les lieux que j'avais visité au Portugal.

OÖN : Comment est votre rôle, Marie dans "Nous nous sommes tant haïs" ?


Sarah Biasini : Il est fantastique, sinon je ne l'aurai pas accepté. C'est une histoire d'amour franco-allemande qui commence en 1944. A la fin de la guerre, l'homme, un Allemand, est isolé dans un camp, on rase la femme à cause de cette liaison et elle est battue. Pourtant, elle a la force de recommencer une nouvelle vie à Paris - avec l'enfant qu'elle a eu de son aimé. Cinq ans plus tard, il la retrouve...

OÖN : Avec une fin heureuse ?


Sarah Biasini : Avec une fin très heureuse.

18 janvier 2009

Barcelone 2000

barcelone_2000sarahsarah_biasini_comedienne
18 janvier 2009

Dali / Eluard

Pour l'amour de GALA

La Courbe de tes yeux

La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur,
Un rond de danse et de douceur,
Auréole du temps, berceau nocturne et sûr,
Et si je ne sais plus tout ce que j'ai vécu
C'est que tes yeux ne m'ont pas toujours vu.

Feuilles de jour et mousse de rosée,
Roseaux du vent, sourires parfumés,
Ailes couvrant le monde de lumière,
Bateaux chargés du ciel et de la mer,
Chasseurs des bruits et sources des couleurs,

Parfums éclos d'une couvée d'aurores
Qui gît toujours sur la paille des astres,
Comme le jour dépend de l'innocence
Le monde entier dépend de tes yeux purs
Et tout mon sang coule dans leurs regards.

Paul ELUARD, Capitale de la douleur, (1926)

dali5

18 janvier 2009

juin 2007

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