20 /11/2006
Prix Laurent Perrier au Pavillon d'Armenonville - PARIS -
Photos réalisées lors de la présentation des programmes de rentrée de TF1
Traduction des paroles
Avant, je dirigeais le monde Les océans se soulevaient quand j'en donnais l'ordre Maintenant je dors seul le matin Je balaye les rues qui m'appartenaient Avant, je jetais les dés, Je sentais la peur dans les yeux de mes ennemis, J'écoutais la foule chanter : " Le vieux roi est mort ! Longue vie au roi ! " Une minute je tenais la clé Celle d'après on m'enfermait Et j'ai découvert que mes châteaux reposaient Sur des piliers de sel et des piliers de sable [Refrain] J'entends sonner les cloches de Jérusalem, Chanter les choeurs de la cavalerie romaine Soyez mon miroir, mon épée et bouclier Mes missionnaires sur un champs étranger Pour une raison que je ne peux expliquer Une fois que tu étais parti il n'y avait jamais, jamais une parole honnête C'était quand je dirigeais le monde C'était le vent mauvais et sauvage Qui renversait les portes pour me laisser entrer Fenêtres brisées et le son des tambours Les gens n'arrivaient pas à croire ce que j'étais devenu Les révolutionnaires attendent Ma tête sur un plateau d'argent Juste un pantin tenu par un fil Oh qui voudrait un jour être roi ? J'entends sonner les cloches de Jérusalem, Chanter les choeurs de la cavalerie romaine Soyez mon miroir, mon épée et bouclier Mes missionnaires sur un champs étranger Pour une raison que je ne peux expliquer Je sais que Saint Pierre n'appellera pas mon nom Jamais une honnête parole Et c'était quand je dirigeais le monde J'entends sonner les cloches de Jérusalem, Chanter les choeurs de la cavalerie romaine Soyez mon miroir, mon épée et bouclier Mes missionnaires sur un champs étranger Pour une raison que je ne peux expliquer Je sais que Saint Pierre n'appellera pas mon nom Jamais une honnête parole Mais c'était quand je dirigeais le monde
COLDPLAY
Le virtuose russe Jascha Heifetz interprétant un extrait de l'opéra de Christoph Willibald Gluck
Orfeo et Euridice (1762)
La pièce L' ANTICHAMBRE est "illustrée" par la musique de GLUCK
Si pour un instant, un court moment, je vous disais tu, alors je vous dirais : Tu as eu raison, tu sais, de vivre ta passion. Tu es heureuse et ça se voit. Tu aimes jouer, tu aimes te perdre dans un personnage pour mieux te retrouver au tomber du rideau. Comme Marigny est loin et la petite Sarah Biasini, timide et doutant d'elle-même... Je sais que ce doute existe toujours et qu'il t'accompagnera tout au long de ta vie mais il est nécessaire pour que la certitude soit heureuse. Joue, Sarah, joue et amuse-toi. Vibre de tout ton être, ne t'économise pas. Chaque représentation est différente et peut-être ultime aussi... Alors offre toi sans retenue au public, charme le, surprend-le, choque le, désarme-le, ne sois jamais une comédienne "tiède" que nul sentiment ne semble habiter. Mais surtout, Sarah, protège-toi. Préserve-toi car ce métier détruit, ce métier abîme, ce métier tue... Tu le sais bien... Mademoiselle la Comédienne...
sandrine D.