Sarah Biasini comédienne

Clapton , sa guitare...

2007

Mises à jour le 10 octobre 2008

Consultez nouvelles dates (post du 21 septembre)

<<Cette représentation de l'Antichambre désarme toute  critique. Dés le lever du rideau, le spectateur est prit en charge et il se laissera aller à l'intelligence, au charme et à la grâce de ce qu'on lui montre à voir et à entendre>>

- Le Figaro Magazine-

Nous avons un peu perdu le rythme de ces rendez-vous au Théâtre municipal proposant des pièces de boulevard, des comédies en tournée et des acteurs de passage.
Il est vrai que la production tunisienne, très dense, occupait la scène mais cela nous manquait un peu depuis la disparition des galas Karsenty Herbert.

Et voilà qu’avec «Tunis fait sa comédie», nous revenons avec cette tradition de théâtre français, comédies de boulevard pétillantes et pétulantes qui brillent sur scène et illuminent nos soirées.
Ce cycle, davantage qu’un festival  c’est en effet un cycle, une saison qui s’étend du 10 octobre au 21 juin , alternera pièces tunisiennes et étrangères, en arabe et en français, invitant beaux textes et grands acteurs sur nos planches.

Douze pièces donc, pour un programme de qualité, toutes récentes et à succès, signées de grands auteurs et réunissant une pléiade d’acteurs à succès ou à promesses.
Puisque c’est au Théâtre de la ville de Tunis que se déroule ce cycle, il était légitime de commencer par une pièce d’hommes de théâtre du sérail : sur un texte de Ezzedine Madani et dans une mise en scène de Mohamed Kouka, «Ibn Khaldoun… et après» réunit trois acteurs emblématiques que l’on ne se souvient plus avoir vu réunis depuis longtemps : Mohamed Kouka, Moncef Souissi et Hichem Rostom. Ezzeddine Madani présente dans cette pièce un Ibn Khaldoun imaginaire, d’ici et d’ailleurs, prétexte pour parler du monde comme il va.

Madani use d’humour et de dérision pour évoquer la démocratie, ses difficultés, la politique, la justice, la liberté, la responsabilité et les rapports difficiles de l’intellectuel avec le pouvoir. Cela avec fougue et jubilation.
C’est avec cet Ibn Khaldoun comme on ne l’a jamais vu que sera donné ce vendredi 10 octobre le coup d’envoi de la saison «Tunis fait sa comédie».

Les textes de Tchekov, de Raja Farhat, de Sacha Guitry, de Taoufik Jebali, de Claude Magnier, de Ali Douaji, de Bertolt Brecht ou de Ray Coney offrent un panel de superbe qualité.

Parmi les acteurs, on verra SARAH BIASINI, Mathilda May, Pascal Legitimus, Raouf Ben Amor,Francis Perrin et bien d’autres.Une superbe saison en perspective, sponsorisée par Tunisie Télécom et dont les bénéfices seront consacrés à l’Unesi et à l’association d’aide aux enfants cancéreux.

Source : JETSET.magazine.fr

Le tournage de ce téléfilm avec Sarah Biasini a débuté le 1er septembre et se terminera le 8 octobre 2008

        Sarah Biasini  dans le prochain long métrage de Brigitte Rouan.                                     (Téléfilm - 60 mn) - Diffusion France2 et Arte

     " LE DEBARCADERE DES ANGES"

                                  Début du tournage à Marseille (septembre 2008)

Ainsi en va de Corbucci le Niçois, chargé pour sa première affaire d’enquêter sur la mort suspecte d’une femme dans une des cliniques privées de la ville. De meurtres en révélations, il fera apparaître la partie immergée de l’iceberg, ces policiers, politiciens, médecins, mafieux à qui profitent le crime, au risque d’y laisser sa peau et son intégrité : « La ville venait de m’assigner ma place. Ce n’était certes pas celle dont j’avais rêvé, mais j’avais l’habitude des rêves. Ils vous aident à vivre, l’ennui c’est qu’ils ont horreur qu’on cherche à les bousculer. ».
Les amateurs plongeront avec délices dans ces pages au style jubilatoire, où l’écho de la voix rocailleuse d’Humphrey Bogart/Marlowe surgit à chaque réplique !

Source : cineart.fr

Critique du 25 septembre 2008

Très belle mise en scène que j'ai pu voir à Marseille. Je connaissais la pièce de Crimp. J'ai redécouvert le texte "personne ne voit la vidéo".

(Laurent Guillot)

Source : théâtre-contemporain.fr