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Sarah Biasini comédienne

4 juillet 2015

Sarah Biasini et Fabio Zenoni, entre étreintes et

 

 

Sarah Biasini et Fabio Zenoni, entre étreintes et uppercuts, pulvérisent avec une énergie euphorisante nos certitudes sur le couple. Ring, c’est un terrain de jeu. Pas question de tempérer ses efforts. Parents, amants, étrangers, maris et femmes, Adam et Eve, divorcés, tous se débattent avec leurs instincts, leurs idéaux, leurs réflexes d’enfants. Les clichés sautent, les étiquettes se décollent pour questionner en profondeur le sens ou non-sens de la relation à deux.

Le Monde - L’écriture vive, subversive, résolument moderne, suscite le rire et l’effroi. Jusqu’à tendre un miroir corrosif et salutaire sur notre quotidien.

Le Parisien - On en sort sonné, amusé, ému mais aussi concerné : ces phrases, ces situations, on les a en partie vécues.

Le Point - Un spectacle tout à fait fascinant puisque Catherine Schaub et Léonore Confino se sont accordé la liberté de la forme. Elles font vivre, respirer le plateau comme c’est rarement le cas.

Le Journal du Dimanche - Les pièces sur le couple ne sont pas rares. Celle-ci est unique.

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2 juillet 2015

FESTIVAL OFF D'AVIGNON : Une pluie de vedettes va

FESTIVAL OFF D'AVIGNON   :   

                       Une pluie de vedettes va investir le Chêne Noir

 

 

 

theatre chene noir 2015

Théâtre du Chêne noir : Anne-Marie Philippe, Eric Métayer, le clan Mesguich, Aurore Auteuil, Marie-Christine Barrault, Christophe Alévèque, Jacques Frantz ou Claire Borotra, de grands noms à l’affiche cet été !

Après une saison d’hiver riche et variée, juillet au Chêne noir promet à son tour une kyrielle de très bons moments de théâtre. Le programme a été dévoilé mardi soir aux abonnés et spectateurs réguliers du théâtre en présence des artistes. « Ces artistes qui soufflent sur les braises et apportent l’âme » comme l’a souligné Gérard Gelas, le directeur du théâtre. L’an dernier, le Chêne noir avait comptabilisé plus de 38 000 entrées, un record. Cette année 15 spectacles sont programmés dans les deux salles et devraient séduire les publics avignonnais.

La création de Gérard Gelas “Un cadeau hors du temps” écrit par son ami Luciano Nattino atteint de la maladie de Charcot et traduit par Camille Gelas nous emportera dans un thriller psychologique. Un texte bouleversant que Claire Borotra et Jacques Frantz interprèteront avec cœur. La musique est signée Christian Vander et l’univers pictural Gérard Alary, artiste.

Aurore Auteuil interprète et signe “Sahar et Jérémy”

La famille Mesguich sera à l’honneur avec William qui signe la mise en scène et joue dans “Noces de sang” de Federico Garcia Lorca. L’histoire d’un mariage contraint, d’une femme qui doit épouser un homme mais qui en aime un autre « un texte puissant, éminemment poétique » indique William. Celui-ci sera aussi à l’affiche du “Prince Travesti” de Marivaux, mis en scène par son père Daniel. Une pièce où il partage la distribution entre autre avec l’une de ses sœurs : Sarah Mesguich. Côté têtes d’affiche, le Chêne noir reçoit aussi la sublime Sarah Biasini dans la pièce “Ring” de Léonore Confino. « Un spectacle organique, une comédie sur nos petits travers de femme […] qui permet d’affronter la vie de couple avec plus d’énergie ! » Dans ce off 2015, la grande Marie-Christine Barrault sera quant à elle Maguerite Yourcenar dans “Les yeux ouverts”, l’adaptation d’un livre d’entretiens avec Matthieu Galey. Eric Métayer nous emmènera dans une comédie loufoque au fin fond de l’Irlande avec “Des cailloux plein les poches”. La pétillante Aurore Auteuil signe le texte qu’elle interprète, mis en scène par Ladislas Chollat “Sahar et Jérémy”. Une pièce sensible et poétique sur la rencontre…

Théâtre du Chêne Noir, 8 bis, rue Sainte-Catherine. Réservations au 04 90 86 58 11 et sur www.chenenoir.fr

Sarah Mendel

25 juin 2015

Rencontre

 

 

Rencontre avec Sarah Biasini et Fabio Zenoni

A l'occasion du Festival d'Avignon (84), les comédiens Sarah Biasini et Fabio Zenoni viennent à la rencontre du public, pour présenter le spectacle "Ring", le :

Lundi 13 juillet 2015 à 14h00 au rayon "Livres" FNAC - 19 rue de la République - 84000 Avignon

A propos du spectacle "Ring"

Sarah Biasini et Fabio Zenoni, entre étreintes et uppercuts, pulvérisent avec une énergie euphorisante nos certitudes sur le couple.  Ring, c’est un terrain de jeu. Pas question de tempérer ses efforts. Parents, amants, étrangers, maris et femmes, Adam et Eve, divorcés, tous se débattent avec leurs instincts, leurs idéaux, leurs réflexes d’enfants. Les clichés sautent, les étiquettes se décollent pour questionner en profondeur le sens ou non-sens de la relation à deux. Le Monde - L’écriture vive, subversive, résolument moderne, suscite le rire et l’effroi. Jusqu’à tendre un miroir corrosif et salutaire sur notre quotidien. Le Parisien - On en sort sonné, amusé, ému mais aussi concerné : ces phrases, ces situations, on les a en partie vécues. Le Point - Un spectacle tout à fait fascinant puisque  Catherine Schaub et Léonore Confino se sont accordé la liberté de la forme. Elles font vivre, respirer le plateau comme c’est rarement le cas. Le Journal du Dimanche - Les pièces sur le couple ne sont pas rares. Celle-ci est unique.

 

5 juin 2015

Tournée Lettre d'une Inconnue

Après les représentations au CADO d'Orléans, la pièce reprend sa route . Voici deux nouvelles dates :

 Chatillon -  Vendredi 18 septembre 2015 à 20 h 30 - Théâtre de Châtillon

Lattes - Vendredi 25 septembre 2015 à 20h 30 - Théâtre Jacques Coeur

Villeneuve sur Lot le 14 octobre 2015 à 20 h 30

Montrouge (92) - Mardi 17 novembre 2015 à 20h30 - Théâtre du Beffroi

Irigny (69) - Vendredi 18 décembre 2015 à 20h30 - Théâtre Le Sémaphore

Perigueux - Jeudi 15 et vendredi 16 octobre à 20 h 30 - Théâtre de l'Odyssée

Monaco - Jeudi 26 octobre à 20 h 30 - Théâtre Princesse Grace

Nogent-sur-Oise (60) - Mardi 24 novembre 2015 à 20h30 - Théâtre Ch. des Rochers

Chassieu (69) - Vendredi 27 novembre 2015 à 20h00 - Théâtre Le Karavan

 Montélimar - samedi 28 novembre 2015 à 20 h 30 - Auditorium Michel Petrucciani

Thourotte (60) - Samedi 05 décembre 2015 à 20h30

Saint-Brice-sous-Forêt (95) - Samedi 12 décembre 2012 à 20h30 - TOPF Silvia Montfort 

 

3 juin 2015

Interview FEMINA novembre 2014

 par 
Anne-Catherine Renaud
 

Je me permets de poster à nouveau cette interview sincère, bonnête et touchante. Vous aurez, je suis sûre, plaisir à la relire

 

Rencontre avec Sarah Biasini, la fille de Romy Schneider

Pétrie de fragilité, la fille de Romy Schneider a vaincu sa peur de lui être comparée

 

Laissez-moi garder quelques souvenirs rien que pour moi! Je ne veux plus parler de mon enfance. On me la rappelle sans cesse...» La conversation à peine amorcée, Sarah Biasini se contracte au bout du fil. La fille de l’inoubliable Romy Schneider se rebelle devant l’intrusion. Qui oserait la blâme r? «J’avais 3 ans lorsque David mon frère de 14 ans a trouvé la mort et 4 ans et demi quand ma mère est décédée, je n’ai que des flashs, des impressions qui s’estompent.» Sur la défensive, la jeune femme respire fort, soupire… On ne l’entend plus. Silence sur la ligne. A-t-elle raccroché? «Non, j’irai jusqu’au bout de cette interview!» reprend-elle avec véhémence. «Mais je n’ai pas envie de parler de ça. Tout a été trop dit, trop raconté. Ne me prenez plus rien! J’en ai assez souffert.»

Sarah Biasini est franche, spontanée, elle parle comme elle vit. Cela a l’avantage de poser le dialogue, même s’il est tendu, douloureux. «Oui, je pense tenir ce trait de caractère de ma mère. C’était une passionnée de la vie, des gens et elle avait un désir d’absolu dans tout ce qu’elle entreprenait. Alors j’en ai assez qu’on la décrive comme une femme malheureuse et abandonnée. Ma mère était tout le contraire. Elle a juste vécu une vie de femme. Avec ses joies et ses douleurs terribles. Mais aussi ses bons moments»… Et Sarah de laisser ses «flashs», comme elle dit, remonter de sa mémoire à ses lèvres. «Je me souviens de ces déjeuners du dimanche dans la maison de mes grands-parents paternels, à Saint-Germain-en-Laye, dans les Yvelines. Il y avait un grand jardin. On y allait tous les week-ends avec mon frère, mon père et ma mère, et on s’attablait autour du gigot. Mes parents avaient deux bergers allemands. Plus tard, j’ai eu un chien moi aussi. Un petit bâtard, «Goldie», je l’adorais.»

De ses grands-parents, qui après la mort de sa mère l’ont élevée avec son père, Daniel Biasini, elle raconte: «Ils m’ont abreuvée de souvenirs! J’avais peur qu’ils se mettent à pleurer, mais ils arrivaient à l’évoquer sans larmes. J’admire leur force morale et la délicatesse qu’ils avaient pour m’en parler. Je suis toujours très proche d’eux. Ils l’ont côtoyée pendant une dizaine d’années, l’ont vue rire et bien manger, jouer aux cartes ou regarder un Grand prix de formule 1 après le déjeuner dominical. Elle a été heureuse.»

Sa mère, elle s’en souvient, avait deux passions: son métier et sa famille. «Interpréter des rôles, faire passer des émotions, puis rentrer chez elle et s’occuper de nous. C’était ça, sa vie... Moi aussi, j’aimerais avoir des enfants, enchaîne la comédienne. Je me sens prête. Réussir ma vie privée est la chose la plus importante à mes yeux. Je serais tout à fait capable de mettre ma carrière entre parenthèses pour m’occuper d’eux!» On entrevoit comme un accent d’enthousiasme dans sa voix. Mais sur l’homme qui partage sa vie, Sarah Biasini ne dira rien. Elle est amoureuse, c’est tout. Et admet au passage avoir suivi une analyse pendant trois ans «pour ne pas transmettre mes névroses, pour m’en débarrasser». Flottant entre lumière et abîme, elle est prête à se réjouir du futur, mais en domptant ses souterraines inquiétudes. «Comme ma mère, je suis quelqu’un d’enflammé, d’excessif, d’hypersensible. Je suis exigeante vis-à-vis de moi et des autres. Dans la vie, je n’aime que les sensations fortes».

Très complice avec son grand frère

La petite Sarah a 1 an lorsque les relations entre Romy et Daniel Biasini se dégradent. Ils divorcent début 1981. La fillette vit à Paris avec sa maman et son frère David. Jusqu’à ce terrible dimanche de juillet, cinq mois plus tard, où David meurt de façon tragique (empalé sur le portail des grands-parents, ndlr). «Vous croyez qu’on dit à une enfant de 4 ans et demi que son frère qu’elle adorait est mort? Bien sûr que non! A cet âge on ne sait pas ce que signifie la mort. On m’a dit qu’il était parti en vacances avec des copains. Ma mère a voulu me ménager. Mais moi, je me rendais compte de son absence qui se prolongeait. Un jour, j’ai pris le téléphone et j’ai crié: «Bon, David, ça suffit les copains, tu rentres maintenant!»

Et la jeune femme d’enchaîner: «Je me souviens de ma chambre, dans la maison de mes grands-parents. Il n’y avait pas de posters, je n’avais pas non plus de doudou. Mais je lisais beaucoup. «Les malheurs de Sophie», «Les contes de la rue Broca», les contes de Perrault: tout à haute voix! J’avais besoin de dire les choses, de jouer des personnages et de mettre le ton». Une adolescente solitaire, alors? «Pas du tout! J’avais beaucoup d’amis et j’étais une fille très joyeuse. Avec mes copains, on écoutait Michael Jackson, dont j’étais fan, Whitney Houston, Eric Clapton et Elton John.»

A 8 ou 9 ans, la petite fille collectionne les pubs de marque Absolut Vodka – «je trouvais le graphisme intéressant». A la même époque, elle se met au piano. «Je n’ai pas croché aux cours, mais l’idée de créer m’intéressait. Je me rêvais musicienne, sculptrice, architecte, peintre! J’ai aussi fait de la danse classique. Je m’intéressais à tout ce qui ne me mettrait pas en concurrence avec ma mère. Il ne fallait pas me parler du métier d’actrice! Il m’arrivait aussi de questionner mon père sur son métier de reporter, avant ma naissance, quand il allait au Liban, au Paraguay ou en Angola. Au fil de ses récits, je ressentais les passions qu’il avait pu vivre, les risques qu’il avait courus…» De cette enfant qu’elle a été, entre 5 et 15 ans, Sarah dit qu’elle était «plutôt épanouie». «J’ai vu plusieurs films de ma mère, dont «César et Rosalie», qui est mon préféré car elle y est heureuse. Avec mes grands-parents, j’adorais aussi regarder les comédies de Louis de Funès...» Au bout du téléphone, la jeune femme se détend. «Ce n’est pas au cours des premières années qu’on souffre le plus de l’absence, confie-t-elle. J’étais très entourée par mon père, qui m’a apporté tout l’amour du monde et dont je tiens un certain esprit de dérision, peut-être une part de cynisme. Et puis j’ai créé une relation mère-fille avec ma grand-mère. C’est plus tard que vient le manque d’une relation plus adulte entre deux femmes…»

Petite, elle s’est tôt rendu compte que sa mère était un personnage public. «Après sa disparition, je me souviens des paparazzis qui me guettaient quand mon père m’emmenait à l’école.» Pour qu’on laisse sa fille grandir tranquille, Daniel Biasini accepte de faire une fois par an un article pour «Paris Match». «On me voyait m’exercer au tir à l’arc, nager... mais tout était mis en scène pour rassurer les gens. Moi je n’étais pas très sportive, je m’intéressais à la peinture.» Après son bac, elle entame des études en histoire de l’art. «Je voulais devenir restauratrice de tableaux. Aujourd’hui, j’aime toujours la poésie et les couleurs de Klimt, le côté obscur du corps humain vu par Egon Schiele ou les préraphaélites. Mon père me répétait: «Fais ce dont tu as vraiment envie et sois heureuse. Laisse-toi rêver.» C’est en parlant avec lui, à 24 ans, que je me suis sentie à un carrefour. J’avais lutté toute mon adolescence contre l’envie d’être actrice. Mais c’était là, en moi… Alors j’ai basculé! Je suis partie deux ans à Los Angeles, chez mon oncle. J’ai pris des cours à l’Institut Lee Strasberg et j’étais auditrice à l’Actor’s Studio. Là-bas, je pouvais dire que ma mère était actrice sans susciter la curiosité.»

Au bout d’une heure de conversation, on sent le jeune femme esquintée. Quel est, aujourd’hui, son but dans la vie? «Transformer tout ce que j’ai vécu, le rendre utile. Que cela devienne une force plutôt qu’une faiblesse. Je rêve d’une vie pleine d’amour et de rencontres...»

 

 

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29 mai 2015

29 mai 1982 - 29 mai 2015 : 33 ans NO COMM

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29 mai 1982 - 29 mai 2015 : 33 ans   NO COMMENT

28 mai 2015

L'inconnue s'exporte !

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Nouvelle Calédonie

 Dimanche 04 octobre 2015 à 18h00 - Théâtre de l'île

 Mercredi 07 octobre 2015 à 20 h00

  Jeudi 08 octobre 2015 à 20 h00

  Vendredi 09 octobre 2015 à 20 h00

Infos : http://www.theatredelile.nc/saison-2015/lettre-d-une-inconnue

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28 mai 2015

Presentation nouvelle saison Cado Orleans

 

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Lettre d’une inconnue

Une manipulation amoureuse magistralement interprétée par Sarah Biasini et Frédéric Andrau. Un homme reçoit les lettres d’amour d’une femme mystérieuse, après que celle-ci soit décédée. De cette capiteuse histoire écrite par Stefan Schweig, Christophe Lidon donne à voir au théâtre un amour fou et obsessionnel, déchirant. Transcendé par sa comédienne principale : Sarah Biasini, venue présenter la pièce avec son partenaire. « Sarah a l’art de se consumer sur scène, de se brûler, elle donne tout », témoigne son metteur en scène. Lumineuse et pleine de grâce, la comédienne s’exclame dans un grand sourire : « c’est une pièce sur les sentiments, elle me touche profondément. C’est un amour poussé à l’extrême, jusqu’à s’annihiler ». Frédéric Andrau incarne cet auteur qui va peut-être rencontrer la femme de sa vie, bien trop tard : « mon personnage s’adresse à un fantôme. C’est ce qui a de magique dans le théâtre, il permet la rencontre entre le monde des vivants et celui des morts ». Un corps à corps rempli de l’art, de l’âme de deux comédiens ardents.

sarah cado 1

26 mai 2015

affiche RING

21 mai 2015

La nuit n’est jamais complète. Il y a toujours,

sarah éclat de rire

 

La nuit n’est jamais complète.   Il y a toujours, puisque je le dis,   Puisque je l’affirme,   Au bout du chagrin   Une fenêtre ouverte, une fenêtre éclairée

...

  Il y a toujours un rêve qui veille,   Désir à combler, Faim à satisfaire,   Un cœur généreux,   Une main tendue, une main ouverte,   Des yeux attentifs,   Une vie, la vie à se partager.

Eluard

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