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Sarah Biasini comédienne

6 octobre 2013

Les dimanches avec Sarah Biasini


 par lejdd

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5 octobre 2013

Critiques de spectateurs

 

-Très beau moment 

9/10

 
Un très beau texte, magnifiquement interprété par les deux acteurs sur scène. Sarah est impressionnante. Je recommande vivement ;) 

-Magnifique ! 

10/10

 
Une interprétation grandiose d'une oeuvre magistrale ! La mise en scène est parfaite !

-emouvant 

8/10

 
On connait bien sur le roman de zweig et cette histoire quasi surréaliste d'un amour dont on ne sait s'il a existé réellement où l'auteur nous entraine dans les abîmes d'une passion insensée digne d'une tragédie antique, un peu moins le sublime film de max ophuls (où l'homme est pianiste et non écrivain) eh bien cette pièce est à la hauteur de cela, sobre, émouvante, sans pathos, juste le quasi soliloque d'une femme qui va mourir et qui décrit cette folle histoire (je pense aussi à Marcelle Sauvageot) Sarah Biasini en digne fille de la grande Romy est bouleversante, son jeu est "économe" subti, toute en finesse et en désespoir digne - l'acteur ést également très bien - une heure d'intelligence et d'émotion - allez-y

-epoustouflant! 

8/10

 
un tres beau moment de theatre et de rencontre amoureuse impossible....2 acteurs à découvrir absolument! 

-excellente sarah biasini 

9/10

 
une courte pièce pleine d'émotion servie par de très bons acteurs, la performance de sarah biasini en particulier est remarquable

-Superbe! 

8/10

 
Très émouvant,une adaptation interessante de la nouvelle de S. Sweig bien campée par une très bonne interprétation des 2 acteurs,Sarah Biasini y est remarquable

26 septembre 2013

Le parisien.fr

Sarah Biasini : « J’ai testé le saut à l’élastique. Je rêve de recommencer »

La comédienne de 36 ans, fille de Romy Schneider, va jouer Stefan Zweig au théâtre.

 Dynamique

Chaque matin, après un thé et les infos sur iTélé – j’aime être au courant de ce qui se passe –, je mets mes baskets et je marche, de façon dynamique, pendant trois quarts d’heure au jardin du Luxembourg.

Chien

Depuis deux étés, je vais me reposer dans les Cévennes. Paysages somptueux et gens adorables.

Sinon, comme tous les Parisiens, je rêve d’avoir une maison de campagne.

Ça me permettrait d’avoir un chien. J’ai une passion pour les border collies.

Romain Gary

Je lis beaucoup mais jamais assez, à mon goût.

Je viens de finir Karoo, de Steve Tesich : formidable. J’ai beaucoup aimé Le marin de Gibralta, de Marguerite Duras, La promesse de l'aube, de Romain Gary.

Pour rattraper mon retard, je me plonge dans les classiques.

Sensations

Il y a dix ans, j’ai fait un saut à l’élastique depuis le viaduc de la Souleuvre (61 mètres), en Normandie. J’aimerais le refaire.

Mastroianni

C’est un souvenir qu’on m’a raconté, puisque je dormais, mais qui m’attendrit toujours.

J’étais en vacances près de Rome. J’avais 8 ans, et Marcello Mastroianni est venu me caresser les cheveux et poser un baiser sur ma joue…

14 septembre 2013

BASH

Du 4 mars au 26 avril 2014, Sarah Biasini montera sur les planches du théâtre 14, au côté de Benoît Solès pour la pièce BASH.

 

  • En Guise d'avant propos…

 

Bash, scènes d’apocalypse, qui vient d’être une révélation à New York, Londres et en Allemagne (mise en scène de Peter Zadek) est la première pièce d’un nouvel auteur américain de trente ans, Neil Labute.

 

Quatre personnages prennent le public à témoin pour un meurtre que chacun a commis et qui reste impuni. Ils essaient de découvrir à travers ce qu’ils ont vécu, ce qui a pu les pousser à cette violence.

 

Ils s’adressent à nous sans culpabilité, sans morale, de manière simple et lumineuse, faisant preuve au final d’une humanité dans laquelle nous pouvons tous nous reconnaître. Pour en finir avec l’indifférence.

 

Pierre Laville

 

  • Un théâtre de la cruauté ordinaire

 

J’aime que Neil LaBute ne prétende pas révolutionner l’art dramatique, et que Bash, sa première pièce, écrite alors qu’il était encore étudiant, soit une œuvre au langage limpide et non abstrait - ce qui ne veut pas dire, nous le savons bien, que cette sorte d’écriture soit privée de style ni de mystère. La recherche d’une stricte simplicité est une exigence et un art.

 

Bash réunit trois actes, trois événements distincts et séparés, mais reliés par un fil rouge précis. La fête (bash), dont il est question, est empreinte d’un crime, d’une catastrophe radicale, qui marquent la vie de chaque personnage, sinon la nôtre, collectivement. La pièce est sous-titrée : latterday plays, qui, littéralement, en appelle à l’apocalypse, à l’effondrement de notre monde, autant qu’à notre vécu, à notre quotidien. Il joue sur l’idée de fête et de ses derniers jours.

 

Ce qu’écrit LaBute émeut, secoue. Il entend relier des mythes anciens à des accidents de la vie d’aujourd’hui (Médée, Iphigénie) ou à la survivance d’une ancienne religion (Une bande de Saints). Il fait un saut dans le temps dont notre civilisation a eu besoin pour se construire, et se détruire.

 

Bash relève de la Tragédie (et non du Drame). Les personnages sont soumis à des forces qui les dépassent. Tout y est cru, et cru, avec humilité et exactitude, violent et comme dans un refus naturel de la morale ou des idées reçues. La pièce est un coup porté à notre bienséance et à notre confort. (bash peut se traduire par : Fête, soirée, et aussi par : coup, gnon). Elle ne manque pas d’éclaircies, d’humour, de goût pour le gaga, pour dépasser un certain palier d’horreur.

 

Les acteurs s’adressent en direct au public, qui est pris comme leur vrai partenaire et devient leur miroir. Bash offre de fortes partitions aux comédiens et fait appel à une conscience aiguë de la vie et de la mort, qui les libère et les incite à se lâcher comme en apnée. Aveux et confessions ne sont nullement des monologues, mais des sortes d’entrées en résonance, ou en écho, avec le public interpellé. Pas de psychologie, mais une approche nette, opérée hors culpabilité et hors sanction.

 

La pièce de Neil LaBute n’est pas sans parenté avec un théâtre plus acéré et plus opaque aussi, d’Edward Bond (qu’admire particulièrement LaBute) à Sarah Kane. Elle participe plus directement au courant dominant du théâtre américain, qui va de l’ancêtre Edouard Albee avec Zoo Story à David Mamet et son Oleanna, ou au millénariste Kuchner.

 

Tout américaine que soit la société visée, fut-ce avec son parfum mormon, Bash nous est familier par ce que la pièce a d’humain et d’inhumain, à un moment de l’histoire du monde où les événements nous rendent de plus en plus complices et ressemblants ici et là - qu’il s’agisse d’un crime collectif ou d’un infanticide, systématiquement répandus sur la scène publique.

 

Bash est une pièce fraternelle et cruelle, positive dans sa conscience même d’une charge qui nous est commune : l’omniprésence de la violence ordinaire qui s’impose à nous dans notre vie de tous les jours.

 

LaBute cherche à rompre avec le système de l’indifférence, du sang, du divertissement et de l’oubli.

 

Pierre Laville

Théâtre 14 : http://theatre14.fr/saison/spectacle/bash-de-neil-labute

 

Renseignements et réservations :

Au théâtre ou par téléphone au 01 45 45 49 77 (du lundi au samedi de 14h à 18h). Fnac, CROUS, agences, Kiosque Théâtre et revendeurs internet.

Représentations du mardi au samedi à 19 heures

Théâtre 14 , 20 avenue Marc Sangnier 75014 Paris

 

 

25 août 2013

Lettre d'une inconnue

 

lettre

 

Reprise de la pièce Lettre d'une Inconnue au théâtre de la Gaité-Montparnasse du 20 septembre au 22 décembre prochains.

Réservations : Théâtre de la Gaité-Montparnasse, 26 rue de la Gaité, 75014 Paris

                    Tel : 01.43.20.60.56

  http://www.gaite.fr/

Du mardi au samedi à 19 heures. Le dimanche à 17 heures.

Prix tarif plein : 32 euros.

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31 juillet 2013

Images de la demoiselle d'Avignon

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29 juillet 2013

Le plus beau jour

Sarah nous présente la pièce Le plus beau jour

18 juillet 2013

source : http://www.leblogreporter.com/

sarah avignon

sarahavignon

source : http://www.leblogreporter.com/ 

18 juillet 2013

Sarah dans les rues d'Avignon

avignon2013 2

 

18 juillet 2013

Les plumes asthmatiques

Il est midi, le soleil enveloppe l’intra-muros et la seule chose qu’il reste à faire pour survivre dans cette chaleur étouffante est d’entrer dans un théâtre. Où aller? Que voir? On vous conseille d’aller écouter les partition du coeur de la pièce Rock’N Love de Caroline Duffau.

 

Nina aime Jean, Jean aime Nina. Florence aime Jean. Anna n’aime plus Baptiste. Jean n’aime plus Florence. L’amour, c’est compliqué. C’est beau, on aime aimer même si on se fait souffrir. Avec un quatuor de comédiens au diapason dont Sarah Biasini, la fille de Romy Schneider, en tête, la pièce explore le sentiment amoureux avec ces personnages, des premiers temps, les plus excitants jusqu’à la fin, jusqu’à la séparation.

Dans une mise en scène moderne, très chorégraphiée et sans décor, les personnages avancent inexorablement vers une fin presque fataliste, dansant tel un funambule sur un câble très fin. Caroline Duffau apporte une vision réaliste de l’Amour et cela peut sembler assez triste mais elle parle aux spectateurs sans mensonge, lui exposant la vérité de ces sentiments qui nous rendent autant heureux que malheureux.

Sarah Biasini joue Nina, une amoureuse qui va souffrir

Cette vérité est exposée dans des monologues bruts et sincères, quasiment slammés qui font le lien entre les différentes scènes. Ils sont profonds et très bien écrits et honnêtement, ces passages donnent même des frissons. En tout cas, la pièce pose une vision réaliste et bienvenue de l’amour avec un grand A. Et ça fait du bien, car en plus de passer un excellent moment, on repart avec le sentiment de ne pas se sentir seul. Oui, tout le monde souffre à cause de l’amour.

Alors vous savez ce qu’il vous reste à faire !

Au théâtre du Rouge Gorge, place de l’Amirande, jusqu’au 31 juillet, tous les jours à 12h30.

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