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Sarah Biasini comédienne

19 décembre 2008

Interview - 18 décembre - belgique

Sarah Biasini s'offre un beau rôle au théâtre

NAMUR  Ses yeux rieurs d'un bleu azur, son petit menton volontaire et surtout son sourire éclatant à la vie nous sont si familiers... Discrète et rebelle, Sarah Biasini, fille de Romy Schneider, n'a finalement pas résisté à l'envie furieuse d'être comédienne. Ardente, entière et passionnée, la jolie Sarah, 31 ans, valse entre théâtre et cinéma, et trace sa carrière sans trop penser au lourd héritage familial. Elle est à l'affiche ce 19 décembre, au Théâtre Royal de Namur, de l'Antichambre de Jean-Claude Brisville. Une tragédie en robes de soie où les haines sont implacables, les mots empoisonnés.

Qu'est-ce qui vous a séduite dans cette pièce ?

"On sent que Brisville est très amoureux du 18e. Il a rendu cette langue audible pour nous et facile à manier pour les acteurs. Et puis je trouvais cette histoire vraie, très belle, très touchante. C'est le metteur en scène Christophe Lidon qui m'a appelée. C'est génial !"

Vous avez décidé assez tard de faire ce métier...

"La raison profonde a été le désir de ne pas rater ma vie, de ne pas passer à côté de quelque chose dont j'avais secrètement envie et que je ne m'autorisais pas car je trouvais que ça faisait cliché. J'ai attendu longtemps avant de me l'avouer à moi-même. Et puis un jour, à 24 ans, je me suis dit : c'est maintenant ou jamais. Et tu vas te réveiller à 40 ans, très frustrée et aigrie. Et ce sera pire."

Aujourd'hui, vous acceptez cette filiation...

"Être la fille de Romy Schneider, oui évidemment, ça m'enrichit, évidemment j'en suis très fière. Mais je fais abstraction de cette ascendance. J'essaie de bien faire les choses. Tout est perfectible et j'espère que je serai encore meilleure."

Un biopic sur Romy est en préparation ? Cela vous touche ou vous irrite ?

"Je n'en pense rien. Je ne peux pas y faire grand-chose. C'est un personnage public qui appartient à tout le monde, quasiment. Je n'irai pas voir le film. Je n'ai pas été approchée pour faire le rôle. Et si je l'avais été, je ne l'aurais jamais fait !"


Interview  : Anne-France Somers

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18 décembre 2008

Un homme et son chien et le Bal des actrices

Charles (Jean Paul Belmondo) va se retrouver à la rue sans que quiconque ne se soucie de son sort. Mais la vie lui réserve encore d'autres surprises et il croisera le chemin d'une foule de personnes parmi lesquelles Sarah Biasini, Cristiana Réali , Jean Dujardin , José Garcia  et Francis Huster.

Une réalisatrice veut faire un documentaire sur les actrices, toutes les actrices : les populaires, les inconnues, les intellos, les comiques, les oubliées... Filmant tout, tout, tout, avec ou sans leur accord, la réalisatrice va se prendre au jeu et se laisser dévorer par ces femmes aussi fragiles que manipulatrices...

15 décembre 2008

Edward Hopper

hopper

Chop Suey (1929)

ce tableau fait partie de ma petite "liste" d'oeuvres diverses et variées "coup de coeur", il est empreint d'un charme à la fois désuet et mélancolique et d'un érotisme élégant.

14 décembre 2008

Sous le charme de Sarah Biasini

SARAH

Adolescente, Sarah Biasini passait tous les jours devant le Théatre Alexandre Dumas pour se rendre à l'école Saint Erembert. Le 4 et 5 décembre, la fille de Romy Schneider s'y est arretée pour jouer L'Antichambre de Jean Claude Brisville.

(source : le journal de St Germain)

C’est une sensation indéfinissable,un peu troublante. Quelque chose dans le regard peut-être, dans le sourire sans doute, dans la voix, un peu grave, sûrement. Etre face à Sarah Biasini, c’estrevoir sa mère, Romy Schneider, mais sans nostalgie tant la jeune actrice rayonne, transportée par son métier et le rôle de Julie de Lespinasse, une héroïne du Siècle des Lumières qu’elle interprète dans L’Antichambre et que le public pourra découvrir les 4 et 5 décembre, au théâtre Alexandre-Dumas. C’est un retour aux sources pour Sarah qui a passé son enfance et son adolescence à Saint-Germain et que nous vous proposons de découvrir dans un entretien tout en pudeur et sincérité.

Le Journal de Saint-Germain : Parlez-nous de votre rôle dans L’Antichambre, la pièce de Jean-Claude Brisville que vous allez jouer à Saint-Germain.

Sarah Biasini : J’interprète Julie de Lespinasse, une jeune fille “batarde” recueillie par sa tante, jouée par Danièle Lebrun, qui tient un salon où se rencontrent les esprits les plus brillants du Siècle des Lumières. C’est un rôle qui court sur dix ans et dont tout l’intérêt réside dans la transformation de cette jeune fille en femme.

Le JSG : Avec cette pièce, vous revenez sur les terres de votre enfance. Dans quel état d’esprit êtes-vous ?

Sarah Biasini : Je trouve ça à la fois émouvant et drôle, car j’ai vécu à Saint-Germain de 5 à 18 ans. Je suis vraiment contente de jouer au théâtre Alexandre-Dumas, devant lequel je passais tous les jours pour aller à Saint-Erembert. Si on m’avait dit qu’un jour je serais sur ces planches...

Le JSG : Pourquoi ? Votre métier n’était pas une évidence,alors ?

Sarah Biasini : Au contraire ! J’ai longtemps rejeté ce métier, sans doute insconsciemment. Je trouvais que cela faisait cliché d’être actrice comme ma mère. Et puis, il y a six ans [ndlr : Sarah a 30 ans], j’ai su qu’il fallait que je prenne une décision sur ce que j’allais faire de ma vie. C’est sorti d’un coup. Comme si je pouvais ouvrir une porte qui était longtemps restée fermée. J’ai découvert qu’une fois qu’on s’autorise quelque chose, on ne voit plus les obstacles.

Le JSG : Parmi ces obstacles, il y avait les rapprochements, inévitables, avec votre mère ?

Sarah Biasini : Les comparaisons, on les fait, c’est une évidence. Mais il fallait que j’oublie ce que les autres allaient penser. J’ai pris une décision égoïste et ambivalente : j’ai pris cette voie car c’est celle que je voulais, tout en choisissant un métier que l’on fait pour les autres !

Le JSG : Comment votre famille a-t-elle pris la nouvelle ?

Sarah Biasini : Ils sont un peu tombés des nues ! Cela dit, mon père voulait que je sois heureuse, quel que soit mon métier. Il fallait juste que ça vienne de moi.

Le JSG : Vous semblez réussir à vivre en dehors du showbusiness...

Sarah Biasini : C’est sans doute parce que je ne sors pas beaucoup. Je suis d’une timidité maladive. Et, jusqu’à présent, je n’ai pas été trop attaquée. Je ne fais pas la “Une” des journaux à scandales.

Le JSG : Votre mère, en revanche, suscite toujours autant de passion. Récemment la télévision allemande est venue à Saint-Germain tourner quelques scènes d’un téléfilm qui lui est consacré...

Sarah Biasini : J’ai été contactée et on m’a donné le scénario à lire. La production a ce genre d’égard pour se protéger d’éventuelles poursuites. Mais il faut savoir que, lorsqu’on est un personnage public, votre vie privée s’éteint avec vous. Les autres peuvent donc faire ce qu’ils veulent. Quoi qu’il en soit, je ne regarderai pas ce téléfilm. Je ne le pourrai pas.

Le JSG : Comment voyez-vous votre carrière, depuis vos débuts, en 2004, dans le téléfilm Julie, chevalier de Maupin ?

Sarah Biasini : J’avance petit à petit. Je repense à ce téléfilm avec plaisir, c’était l’expérience rêvée, j’ai été gâtée, tant dans sa préparation puisqu’on m’a appris à faire du cheval et de l’escrime, que dans sa diffusion, en prime-time sur TF1, avec 8 millions de télespectateurs ! En ce qui concerne le théâtre, c’est une discipline plus risquée dans laquelle je me lance à chaque fois en étant totalement dans le plaisir du jeu. J’apprends beaucoup avec Danièle Lebrun, ma partenaire. Elle est très inspirante, complètement libératrice.

Le JSG: Quelle sera votre prochaine actualité ?

Sarah Biasini : J’ai tourné un polar avec Brigitte Roüan, Le débarcadère des anges, coproduit par France 3 et Arte, qui sera diffusé à la télévision en début d’année prochaine

14 décembre 2008

Lille 2007

Sarah Biasini fut en 2007 la marraine des premiers états généraux de l'Europe qui eurent lieu à Lille le 17 mars

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13 décembre 2008

sartax

10 décembre 2008

sarahbiasini2107

9 décembre 2008

Jour de Neige

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Le miroir et la petite fille

Le miroir a plus de cent ans.
Sa peau de glace est tachetée
comme le front ridé des vieilles
- Petite fille magique,
dit le miroir,
Peux-tu me rendre ma jeunesse ?
- Excusez-moi, dit la petite fille,
vous devez faire erreur.
Dans mon pays,
ce sont les miroirs qui sont magiques.
Je ne peux rien pour votre jeunesse,
mais j’aimerais bien devenir princesse.

Michel Luneau

7 décembre 2008

zazie

7 décembre 2008

Décembre 2008

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