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Sarah Biasini comédienne

30 juin 2017

MODI

"Modi", début des représentations le 10 octobre 2017

Modi

De Laurent SEKSIK
Mise en scène Didier LONG
Avec Stéphane GUILLON, Geneviève CASILE, Sarah BIASINI et Didier BRICE

Montparnasse, 1917.
Dans le Paris de Picasso, de Cocteau, de Max Jacob, ivre d’absinthe et de plaisirs, un homme règne sur la vie d’artistes. Le Prince de cette Bohême, c’est Modigliani, génie dans toute sa splendeur, extrava­gant, irrésistible, séducteur, colérique, d’une drôlerie sans nom.
Modi qui cherchait la gloire va croiser l’amour sous les traits d’une jeune femme d’exception, assoiffée d’absolu et de grâce, aimante jusqu'au sacrifice.
Peinture d’une époque fascinante, portrait d’un homme prodigieux, «Modi» est l’histoire d’un amour fou.

Représentations du 10 octobre jusqu'au 30 décembre 2017  au Théâtre de l'Atelier

Du mardi au samedi à 21h00
Matinée le dimanche à 15h00
(Relâche dimanche 29 octobre)

Prix : de 19 à 44 euros.

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19 juin 2017

A la rentrée

 

Sarah Biasini interprétera Jeanne Hebuterne dans «Modi», de Laurent Seksik. Stephane Guyon y interprétera le rôle du peintre Modigliani. Une pièce mise en scène par Didier Long, qui "se concentre sur les deux dernières années de l’artiste maudit mort à l’âge de 35 ans d'une méningite tuberculeuse à Paris. A voir dès septembre au théâtre de l'Atelier

http://www.theatre-atelier.com/

22 mai 2017

Nice

avec la voix de Sarah Biasini

Nice, Terre d'exception from Horizon Pictures on Vimeo.

4 mai 2017

RING 2017 - CAMBRAI le 26 avril

RING 2

RING 3

RING 4

RING 5

 

RING 6

RING 7

RING 8

RING 1

4 mai 2017

LA VOIX DU NORD

Du couple originel au couple moderne, Sarah Biasini et Fabio Zenoni ont enchaîné un formidable patchwork de saynètes comme autant de rounds sur un ring sans cordes ni poteaux. Et pourtant, les face à face et les corps à corps n’ont pas manqué au fil de cette pièce pour redessiner avec brio l’histoire amoureuse.

Formidables comédiens
C’est peu de dire que le couple de comédiens fut brillant. A commencer par Fabio Zenoni qui s’est montré à l’aise dans tous les personnages qu’il a incarnés, de l’amoureux transi à l’ex-compagnon jaloux en passant par le tombeur d’un soir et le mari lassé. Ce diable de comédien a littéralement émerveillé le public cambrésien par son immense talent de caméléon. Des spectateurs qui furent également fascinés par la radieuse beauté et le jeu vibrant de Sarah Biasini qui ressemble tant à sa mère, restée si chère dans le cœur de ses nombreux admirateurs.

Esthétisme épuré
En utilisant une toile de fond comme page blanche, la metteure en scène Catherine Shaub a parfaitement mis en lumière les propos des deux comédiens. Les projections vidéo ont parfaitement ponctué le sens profond de chaque histoire de couple. Un lit et un banc blancs ont également modulé l’espace à loisir pour souligner câlins et coups de griffes, amour et désamour.

Passionnément
C’est à un rythme effréné qu’un homme et une femme se sont cherchés, se sont aimés, compris, ou déchirés puis détestés. Vraiment pas simple de vivre à deux ! Le combat a donc été d’envergure et les tirades explosives. De coups bas en uppercuts, les différents couples ont écrit leurs histoires en créant un véritable ballet des corps. Pas le temps de reprendre sa respiration, c’est un autre direct qui est venu sonner les spectateurs. L’écriture ciselée de Léonore Confino a fait naître aussi bien l’humour grinçant que l’émotion la plus prégnante.

Connivence
Dans ce «Ring», les deux comédiens se sont accordés à la perfection. Lorsque leurs corps ne se sont pas déchirés, ils se sont unis avec beaucoup de désir et de sensualité. Avec en point d’orgue, une mémorable chorégraphie du baiser. De quoi renvoyer, ici et là, les spectateurs à leur propre histoire. Deux sexes opposés peuvent-ils cohabiter ? La réponse est claire : sur une scène de théâtre, Sarah Biasini et Fabio Zenoni ont prouvé que cela était parfaitement possible…

Par J.-P. L

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1 mai 2017

larmes

1 mai 2017

chagrin

La tombe de l’actrice Romy Schneider, située au cimetière de Boissy-sans-Avoir dans les Yvelines, a été ouverte, vraisemblablement au cours du week-end. « Un ou des individus ont descellé la pierre tombale et l’ont déplacée, occasionnant l’ouverture du caveau », a indiqué une source proche de l’enquête. « A ce stade des constatations, il n’y a a priori pas eu de dégradation », a-t-elle ajouté. Les gendarmes de la brigade de recherches de Mantes-la-Jolie sont chargés de l’enquête

 Le Chagrin et une grande colère m'étreignent. Je ne peux que songer à Sarah en un tel moment. Qu'elle sache que nous sommes tous, ses admirateurs comme ceux de Romy,  choqués et que nos pensées les plus chères vont vers elle...

 

 

 

 

 

 

22 avril 2017

"UN FIL A LA PATTE" bande-annonce from CinéWatt

18 mars 2017

Sarah parle du Fil à la patte

La comédienne Sarah Biasini était sur le plateau de l'émission «9H50 le matin» pour présenter la pièce «Un fil à la patte» qui se joue à actuellement à Orléans. 

 

 

 

 

 

4 mars 2017

Article "La République du Centre"

cl

 

« C’est une fête de monter Feydeau, comme un petit grain de poivre excitant », confie Christophe Lidon qui présente, à partir de ce soir au CADO-Théâtre d’Orléans, sa nouvelle mise en scène.

« Etre à la hauteur de cette mécanique »

Comment se débarrasser d'une maîtresse lorsqu'on prévoit de se marier le jour même avec une riche héritière ? S'entourant d'une troupe de comédiens fidèles (Sarah Biasini, Catherine Jacob, Dominique Pinon, Bernard Malaka…) et d'Yvan Le Bolloc'h, Christophe Lidon crée, à partir d'aujourd'hui au Théâtre, « Un Fil à la patte ».

Pour votre nouvelle création, vous avez choisi de monter une pièce de Feydeau, un auteur que vous n'aviez encore jamais mis en scène. Pourquoi ? Je crois que Feydeau me faisait peur. Peut-être parce que cette mécanique qui fait passer les rires avant le fond ne correspondait pas à mon théâtre, plutôt un théâtre d'émotion. En même temps, il y a quelque chose de formidable avec Feydeau, c'est le travail du corps. Et pour moi qui ai travaillé pour l'opéra, le cirque… le corps de l'acteur comme source d'inspiration, ça me tentait.

Pourquoi « Un Fil à la patte » ? C'est la majeure ! La référence chez Feydeau. J'avais le souvenir de la mise en scène de Charon à la Comédie Française mais j'étais certain que cette pièce avait quelque chose de plus débridée et d'inattendue. Et puis j'aime bien l'idée que ça parle du monde du spectacle…

Quelle est l'histoire en quelques mots ? Elle est toute simple. C'est une histoire de passion entre Lucette Gautier, meneuse de revue à la mode, et Fernand Bois d'Enghien. Celui-ci, arrivant en « fin de fraîcheur », a besoin d'épouser une jeune héritière. Un projet qu'il va cacher à sa maîtresse jusqu'au jour même des fiançailles. Mais quand Lucette l'apprend, elle va passer un temps fou à lui pourrir la vie. Et sa vengeance sera à la hauteur du secret. Bois d'Enghien a vraiment mis beaucoup de temps à lui dire… C'est très lâche… Mais pour moi, tout ça est fait par amour.

Pourquoi avoir choisi de transposer la pièce dans les années 40 ? En 1946, très précisément, année de l'avènement du new-look de Dior, de l'arrivée du jazz. C'est le moment où le divertissement a traversé l'Atlantique. J'aimais cette idée que Lucette puisse faire une deuxième partie de carrière à New York. Et j'avais alors l'avantage de pouvoir imbiber le spectacle de jazz.

Pour cette pièce, vous avez réuni autour de vous une troupe d'acteurs fidèles. Tout à fait. J'ai arrêté de faire pleurer Sarah (Biasini) pour l'emmener dans un autre univers où est elle est très convaincante. Elle est fraîche, solaire, "pétulante". C'est chouette de la voir en meneuse de revue et folle amoureuse. Quant à Catherine Jacob qui n'avait jamais joué de Feydeau, elle fait de la baronne un rôle majeur. Elle va très loin dans la proposition, il se passe vraiment un truc. Le public va également retrouver Dominique Pinon qui interprète un Bouzin loin de la proposition de Robert Hirsch…

Et pour incarner Bois d'Enghien, vous avez choisi Yvan Le Bolloc'h. Pourquoi ? Quand je lui ai proposé le rôle, il m'a demandé pourquoi je l'avais choisi. Je lui ai répondu : « Parce que tu seras surprenant. Tu vas apporter la pertinence, et non la référence. » Yvan a une réelle séduction, moderne, différente de celle du théâtre de Feydeau. Et pour que l'histoire entre Lucette et Bois d'Enghien tienne, il fallait qu'il se passe quelque chose de physique. J'ai du mal à croire, avec les dernières propositions faites au théâtre, que Lucette était folle de lui… Yvan est un beau gosse, patiné, un vieux jeune premier avec beaucoup de second degré. De plus, comme il est musicien, il a la notion du rythme. Et je veux que ça swingue !

Quelle est l'ambiance entre tous les comédiens ? Il y a un très bel esprit de troupe. C'est très harmonieux.

Vous avez déjà rôdé votre pièce devant un public. Quelles ont été les premières réactions ? Ces séances de rodage nous ont permis quelques réglages. Quand on répète pendant deux mois, on rigole beaucoup les premières minutes et après, on se fait des nœuds à la tête. C'est très compliqué à mettre en scène, de sentir que ça marche. On sait que le texte est infaillible, que certaines répliques font mouche mais reste à savoir si elles vont retrouver leur rythme ? Il ne faut pas décevoir et être à la hauteur de cette mécanique. Tout doit être grand.

Dans quel état d'esprit êtes-vous avant de jouer à Orléans ? Dans notre énergie. La première, c'est le 4 mars au Théâtre. La pression monte petit à petit. Parce qu'on arrive devant un public que l'on connaît et aussi parce qu'il y a un enjeu. J'ai envie que ma version de Feydeau soit reconnue comme une possibilité.

En tant que directeur également, il faut que la création soit à la hauteur de la salle Touchard qui contient plus de 900 places. Catherine Frot et Michel Fau m'ont confié qu'ils avaient eu une sensation très particulière de jouer devant autant de personnes. Pour « Un Fil à la patte », les neuf comédiens savent que ça se joue à 200 à l'heure.

Pratique. Du 4 au 18 mars, au Théâtre. Samedis 4, 11 et 18 mars, mardi 14 mars, jeudi 16 et vendredi 17 mars à 20 h 30. Samedis 11 et 18 mars, à 17 heures. Dimanches 5 et 12 mars, à 15 heures. Mercredis 8 et 15 mars, à 19 heures. Tarif : 39 € (TR : 35 €, 12 €). Tél. 02.38.54.29.29.

Julie Poulet-Sevestre

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