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Sarah Biasini comédienne

3 décembre 2014

Dates et Lieux

La Lettre d'une Inconnue continue de nous faire vibrer. Voici les dates :

 

Versailles (78) - Mardi 16 décembre 2014 à 20h30 - Théâtre Montansier : 
•Versailles (78) - Mercredi 17 décembre 2014 à 20h30 - Théâtre Montansier
•Vichy (03) - Dimanche 21 décembre 2014 à 15h00 - Opéra de vichy

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3 décembre 2014

Dates et lieux

La tournée de La Tempête continue ce mois-çi, voici les dates et les lieux où vous pourrez assister à une representation :

 

Dates et lieux des représentations :


Grenoble (38) - Jeudi 04 décembre 2014 à 20h30 - Théâtre Municipal   
•Grenoble (38) - Vendredi 05 décembre 2014 à 20h30 - Théâtre Municipal
•Blagnac (31) – Jeudi 11 décembre 2014 à 20h30 - Théâtre Odyssud 
•Blagnac (31) – Vendredi 12 décembre 2014 à 20h30 - Théâtre Odyssud...
•Blagnac (31) – Samedi 13 décembre 2014 à 20h30 - Théâtre Odyssud
•Blagnac (31) – Dimanche 14 décembre 2014 à 15h00 - Théâtre Odyssud
•Massy (91) - Mardi 16 décembre 2014 à 16h00 - Opéra de Massy 
•Fréjus (83) - Mardi 06 janvier 2015 à 20h30 - Théâtre Le Forum
•Courbevoie (92) - Jeudi 08 janvier 2014 à 20h45 - Espace Carpeaux 
•Montrouge (92) - Vendredi 09 janvier 2015 à 20h30 - Théâtre Le Beffroi
•Elancourt (78) - Samedi 10 janvier 2015 à 21h00 - Théâtre Le Prisme  
•Alès (30) - Mardi 13 janvier 2015 à - 20h30 - Théâtre Le Cratère  
•Alès (30) - Mercredi 14 janvier 2015 à 20h30 - Théâtre Le Catère

27 novembre 2014

Critique La tempête

Ce jeudi à la Coupole , on donnait Shakespeare

 

la tempete

 

La Tempête, à part les déclamations lyriques des personnages , où se loge le tragique de la pièce ? Dans le titre peut-être , mais ce sera tout , à notre grande joie .  D’ailleurs , tout se termine bien : mariage  et réconciliation , un peu comme dans un  bon film americain , et puis , il y a les méchants et les gentils , comme ça on est tous contents : cher Dominique Pinon , on a adoré vous détester  , vous, Caliban , fils de sorcière,  le crabe -araignée qu’on imagine volontiers gluant genre progéniture d’Allien qui aurait oublié de grandir , plus souvent à terre que debout  et prêt à toutes les compromissions pour vous libérer du joug du bon Prospero , roi déchu  mais nouveau colonisateur -oui , nous sommes sur une île et Prospero y héberge ses esclaves, Caliban l’homme poisson et Ariel , son génie des airs déguisé en chanteur pailleté années 80   -.

La Tempête  démarre sur un spectaculaire naufrage dont les victimes , Capitaine de bord en premier comme il se doit – assis au premier rang en marinière JP Gaultier- surgissent , non pas de la scène mais de la salle dans une joyeuse cacophonie scandée de » on va tous mourir, au secours ? « par un trio comique enfraisé  et gesticulant apportant peu de crédit à la tragédie mais beaucoup à la comédie, bien que la situation soit assez proche de celle des infortunés passagers du Radeau de la Méduse  ; et rien n’y fait pour inverser la tendance , pas même l’insistance de Gonzalo , le fidèle conseiller de Prospero  , se désolant à grands cris de subir une mort si humide tout en  suggérant la pendaison pour l’incapable Capitaine de vaisseau.  Dans un premier temps , pas facile de comprendre de quoi il retourne mais Christophe Lidon , ingénieux metteur en scène de cette Tempête rédemptoire  ,disposant de davantage d’artifices que Shakespeare en 1612 , nous éclaire sur le positionnement des protagonistes grâce à un plateau tournant figurant l’île où sont enfermés Prospero , sa fille et Caliban l’affreux, une video projetant le naufrage des traitres( le roi de Naples, son fils Ferdinand ainsi que le frère parjure de Prospero, Antonio) , sans compter les effets de lumière superbes de  MarieHélène Pinon qui rendent crédible l’aspect dramatique de la scène.

 Ou est la force , ou est la puissance ?

Gardons-nous des préjugés car les puissants changent parfois de camps : dans La Tempête , ce sont évidemment les éléments naturels qui dominent largement la situation . Chez les humains , la puissance change de main passant du clan du frère félon à celui de Prospero et de sa fille Miranda par la grâce de la magie . Prospero martyrisé mais Prospero  libéré ! La magie , c’est lui ,la tempête, c’est lui  ! Le  roi de Naples,  son fils Ferdinand ainsi que le frère parjure  Antonio , sont les victimes méritées du roi légitime , la morale est sauve . Les vilains, dont Caliban le gnome démoniaque  ,la  brute infernale ,  sont traîtés comme il se doit – les gentilshommes à fraises sont engloutis par des pieuvres monstrueuses qui ne sont pas sans rappeler les calmars geants de Vingt Milles Lieues Sous les Mers ; et , comme pour insister sur la tendance peu vertueuse des hommes de céder à la tentation, les sirènes d’Ulysse prennent ici la forme d’un immense banquet que n’aurait pas renié Marco Ferreri et sa Grande Bouffe : la chair est faible !  Les gentils amoureux ,( un peu niaiseux quand même ) Miranda et Ferdinand ,sont adoubés par les deux chefs de  camps autrefois ennemis , les rois et les frères sont réconciliés , tout est bien qui finit bien, Shakespeare peut quitter la scène en toute sérenité.

Une chute qui fait la part belle au côté ensoleillé  de l’humanité – des sentiments nobles comme l’amour, la faculté de pardonner , la  volonté de réconciliation, le désir d’apprendre …- après en avoir illustré la noirceur -avidité , cupidité , jalousie , rancœur, manipulation,  vile flatterie …La dernière pièce de  Shakespeare est pédagogique , elle nous aide à nous faire une idée de ce qu’est ou devrait être l’humanité, nous, en somme ; grâce à la mise en scène de Christophe Lidon , cette tragi-comédie nous est présentée comme une  fantaisie à la  gaieté bouffonne sans oublier toutefois quelques messages dont nous retiendrons celui-ci  à propos de Prospero nous rappelant qu’un esprit éduqué est le meilleur moyen de lutter contre l’obscurantisme et tous les côtés sombres de l’âme humaine : « grâce à la magie que lui confèrent ses livres, il maîtrise les éléments naturels et les esprits ».

On ignore où Shakspeare a puisé le sujet de la Tempête ; il paraît cependant assez certain qu’il l’a emprunté à quelque nouvelle italienne que jusqu’à présent on n’a pu parvenir à retrouver.

source : http://www.baleenfrancais.ch/

23 novembre 2014

montage3

22 novembre 2014

L'homme qui adapte !!

 

Sadler-embarque-dans-la-tempete-shakespearienne_image_article_large

 

 

Comme tout homme de théâtre - qui se respecte - de Sa Majesté la Reine, il aime la langue de Shakespeare. La vraie, celle où il trouve subtilité, beauté, poésie. Celle d'un Anglais de la Renaissance, à mille lieux de la langue anglo-saxonne d'aujourd'hui « Je peux dire avec une certaine arrogance anglaise que Shakespeare n'est pas compris par les Anglais. C'est une langue magnifique, qu'on ne parle plus, pour des textes qui ont une portée métaphysique », savoure Michaël Sadler. Homme de lettres, metteur en scène, Michaël Sadler porte souvent haut le bel étendard de l'humour britannique. Mais avec Shakespeare, il se fait sage et révérencieux. On ne badine pas avec le maître William qui, selon lui, a modernisé l'écriture du théâtre européen.

Pour la première fois de sa carrière, Michaël Sadler s'est vu demander d'adapter « La tempête » de Shakespeare par Christophe Lidon, le nouveau directeur du théâtre Cado, à Orléans. « Initialement, le projet se faisait avec Claude Rich. J'ai commencé les répétitions avec Claude, je le voyais une fois par semaine chez lui, mais il a eu des soucis de santé. Claude Rich a été remplacé par Alain Pralon, sociétaire honoraire de la Comédie-Française. Un acteur magnifique, une Roll's de théâtre ». Deux grands acteurs accompagnent Pralon et Sadler dans cette Tempête : Dominique Pignon et Sarah Biasini. Son défi aura été de donner à « La Tempête » « une version théâtrale musclée, intelligible », d'arriver « à ce que le public comprenne la densité du texte tout en s'amusant ». Si, finalement l'élève Sadler peut badiner avec le maître Shakespeare… « C'est l'histoire d'un duc, Prospero, déchu par un frère perfide, expédié en mer pour le faire mourir, raconte le metteur en scène. Il échoue sur une île habitée par un esprit, Ariel, qui devient son serviteur, et un être monstrueux, le fascinant Caliban, joué par Dominique Pignon, à qui il voudrait bien apprendre les bases de la civilisation. C'est à cet être sauvage que Shakespeare a donné la poésie la plus totale. Quant à Prospero, il a des pouvoirs magiques auxquels il renonce. Tout comme Shakespeare a renoncé au théâtre après cette pièce ». Christophe Lidon aura vu en Michaël Sadler le seul Anglais capable d'affronter littéralement cette tempête. « Sur scène, traduire Shakespeare n'est pas compréhensible. Il ne faut pas imiter la complexité de son écriture, sinon on s'embourbe dans un marécage de mots », dit-il, avec une parfaite maîtrise de la langue de Molière.

 

source : http://www.lanouvellerepublique.fr/

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22 novembre 2014

Image tendresse

Moi qui suis absolument contre les photographies de paparazzis, j'ai voulu publier celle-çi car elle me touche... On y voit un petit bout entourée de beaucoup d'amour....

bbsarahmamannadou

15 novembre 2014

Avis de spectateurs ayant vu la Tempête

 

 

Sublime !

Tout simplement magique ! Jeu époustouflant des comédiens ! Mise en scène admirable !

 

Magnifique!

Ce songe est un véritable enchantement : décors, costumes, mise en scène, comédiens... et de plus hilarant ! Nous y sommes allés en famille. Les enfants ont également adoré cette pièce classique et poétique.

 

15 novembre 2014

Stormy weather

Si vous avez vu Bash, alors vous avez entendu ce morceau....

13 novembre 2014

B.A Avignon 2014

 

13 novembre 2014

Poème de Pablo Neruda

 Je trouve ce poème plein de sagesse et de vérité.

neruda

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