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Sarah Biasini comédienne

24 mai 2011

Critique L'express.fr

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La fille de ..., Sarah Biasini, au théâtre dans "Lettre d'une inconnue"

Pas facile d'assumer l'héritage d'une actrice comme Romy Schneider. Sarah Biasini, sa fille, s'en sort pourtant bien. La voici de nouveau sur les planches.

Sarah Biasini n'a jamais usé de son lien de parenté pour parvenir à ses fins. Comédienne passionnée, la jeune femme de 33 ans continue son parcours, sans prétendre marcher dans les pas de son illustre mère.

Elle a d'abord usé de son talent devant une caméra de cinéma, aux côtés de Catherine Frot dans "Mon petit doigt m'a dit", ou à la télévision dans "Julie, Chevalier de Maupin".
C'est ensuite vers la scène que Sarah Biasini s'est tournée. Son interprétation dans "L'Antichambre" de Jean-Claude Brisville, lui a d'ailleurs valu une nomination aux Molières.

La voici de nouveau sur les planches, à l'affiche de "Lettre d'une inconnue", au théâtre des Mathurins. Dirigée par Christophe Lidon, elle incarne dans cette oeuvre de Stefan Sweig une femme détruite par sa passion, folle et destructrice.

Si devenir actrice a longtemps été un choix difficile à porter, de par l'imposante figure maternelle, Sarah Biasini est aujourd'hui une comédienne épanouie dont le talent n'est plus à prouver.

source : so you tv.fr

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24 mai 2011

et si on se faisait un petit bonheur ?

 pour mes pépites dont j'entends encore les rires ...

 

24 mai 2011

Selah Sue

 

Jeune, talentueuse, une voix surprenante, envoutante, je craque pour  la chanson PLEASE . Allez à la découverte de cette demoiselle belge à la voix si soul... Ses trois albums sont en écoute gratuite sur Deezer. http://www.deezer.com/fr/                                                  

 

 

24 mai 2011

La recette du bonheur ?

Aujourd'hui à 14 h 30 mn

Europe 1

faustine

Interview de Sarah Biasini dans l'émission "Et si c'était ça le bonheur" de Faustine Bollaert

 2008

24 mai 2011

Le figaro.fr

 

Des larmes coulent sur ses joues, ses mains balayent ses cheveux blonds relevés sur la nuque. Sarah Biasini pleure son enfant mort et l'amour qu'elle n'a jamais eu avec des mots simples et mélodieux. Délicatement éclairée par une orfèvre de la lumière, Marie-Hélène Pinon, la comédienne est l'héroïne de Lettre d'une inconnue, de Stefan Zweig, au côté de Frédéric Andrau, fin et juste dans le rôle du séducteur inconscient. Pourtant rompu à l'exercice, Christophe Lidon ne signe pas ici sa meilleure mise en scène. Pour transposer le texte de l'écrivain autrichien sur la scène des Mathurins, à Paris, le metteur en scène a sollicité Michael Stamp, qui avait déjà revisité pour lui La Serva Amorosa de Goldoni. Ce n'était pas forcément une bonne idée.

Michael Stamp use d'un artifice qui perturbe le spectateur: il introduit un dialogue entre la femme éperdue d'amour et l'écrivain qui l'a toujours ignorée. Autant le film de Max Ophüls sorti en 1948, était justifié et emportait l'adhésion, autant le début de la pièce agace. On est malgré tout peu à peu saisi par l'émotion qui se dégage sur le plateau, grâce à Sarah Biasini. On finit par s'attacher à l'actrice dont l'image se confond avec celle de cette femme qui a consacré son existence à un homme superficiel. Visage sans fard, pieds nus, vêtue d'une nuisette noire - ce qui n'était pas nécessaire -, la fille de Romy Schneider prend à bras-le-corps ce rôle dense et exigeant.

Folle d'amour et de douleur, la belle « inconnue » ne peut quitter ce monde sans avouer ses sentiments à l'homme frivole. Sarah Biasini sauve la pièce de justesse. On sort de la salle ému comme d'un cimetière après un enterrement. Mais émerveillé par la qualité de l'interprète principale.

Nathalie Simon

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21 mai 2011

Oiseau de nuit

thomas

merci Thomas pour ta gentillesse

21 mai 2011

Paris Match

 

paris_match

une page sur Sarah Biasini

18 mai 2011

Critique Télérama

 

telerama

Le célèbre récit écrit par Stefan Zweig en 1922 a été plusieurs fois adapté au cinéma. On se souvient particulièrement du film signé Max Ophüls. L'adaptation théâtrale resserre la nouvelle autour des deux personnages. Un écrivain, R., reçoit un jour une longue lettre rédigée par une inconnue : depuis l'enfance, elle est amoureuse du destinataire de la missive. Et depuis lors, cette dernière n'a vécu que l'esprit entièrement occupé par lui. C'est une lettre d'adieu, d'amour et de folie, le récit d'une terrible descente aux enfers. La mise en scène de Christophe Lidon est surtout travaillée avec des ombres et des lumières. L'atmosphère est funèbre sur une scène parsemée de petites lampes qui brillent comme des étoiles. Sarah Biasini, qui interprète la femme, a de la gravité et de la fragilité, mais aussi une grande puissance. Elle joue sans pathos avec une force tragique étonnante. Frédéric Andrau est R. : son rôle est plus discret mais il campe avec précision un homme léger et volage. C'est donc un spectacle attachant qui fait jaillir une belle émotion.

Sylviane Bernard-Gresh

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17 mai 2011

Critique Rue du Théâtre

 

Je vous aime : un peu, beaucoup,...à la folie !

Par Marie-Pierre CREON
Publié le 16 mai 2011
 
Il fallait oser porter sur scène ce conte d'une folie amoureuse peu ordinaire. Un marathon d'une heure où les mots de Stefan Zweig poussent un amour inconditionnel jusqu'à son paroxysme. Pour cela, un duo parfaitement complémentaire: Frédéric Andrau, à la sensibilité discrète, et Sarah Biasini, sublime et viscérale.
17 mai 2011

Images d'un instant

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Avec le philosophe Raphaël Enthoven

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