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Sarah Biasini comédienne

26 mars 2011

Lettre d'une inconnue

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image Rod le HibOO

Dès le 15 avril prochain, Sarah BIASINI retrouve Christophe LIDON dans la pièce adaptée du roman de Stefan Zweig , Lettre d'une Inconnue . Elle y aura pour partenaire Frédéric ANDRAU.

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L'histoire : Lettre d'une inconnue est un des textes les plus déchirants qui soient, souvent adapté au théâtre. C'est la confession, à la veille de sa mort, d'une femme à un homme qu'elle a aimé toute sa vie et qui ne l'a jamais vraiment "vue", jamais vraiment regardée.

Rendez-vous du 15 avril au 30 juin

 

 Théâtre des Mathurins , 36 rue des Mathurins, Paris 8ème.

 Tel : 0142659000

Prix des places : de 16 à 32 euros.

 http://www.theatredesmathurins.com/

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Présentation du livre par l'éditeur :

« C’est depuis cette seconde que je t’ai aimé. Je sais que les femmes t’ont souvent dit ce mot, à toi leur enfant gâté. Mais crois-moi, personne ne t’a aimé aussi fort – comme une esclave, comme un chien –, avec autant de dévouement que cet être que j’étais alors et que pour toi je suis restée. Rien sur la terre ne ressemble à l’amour inaperçu d’une enfant retirée dans l’ombre ; cet amour est si désintéressé, si humble, si soumis, si attentif et si passionné que jamais il ne pourra être égalé par l’amour, fait de désir, et, malgré tout, exigeant, d’une femme épanouie. »

Un amour total, passionnel, désintéressé, tapi dans l’ombre, n’attendant rien en retour que de pouvoir le confesser. Une blessure vive, la perte d’un enfant, symbole de cet amour que le temps n’a su effacer ni entamer. L’être aimé objet d’une admiration infinie mais lucide. Une déclaration fanatique, fiévreuse, pleine de tendresse et de folie. La voix d’une femme qui se meurt doucement, sans s’apitoyer sur elle-même, tout entière tournée vers celui qu’elle admire plus que tout. La voix d’une femme qui s’est donnée tout entière à un homme, qui jamais ne l’a reconnue. Avec Lettre d’une inconnue, Stefan Zweig pousse plus loin encore l’analyse du sentiment amoureux et de ses ravages, en nous offrant un cri déchirant d’une profonde humanité. Ici nulle confusion des sentiments : la passion est absolue


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un extrait du texte :

Toutes les formes possibles, de ta froideur, de ton indifférence, je me les étais toutes représentées, dans des visions passionnées; mais, dans mes heures les plus noires, dans la conscience la plus profonde de mon insignifiance, je n'avais pas même osé envisager cette éventualité, la plus épouvantable de toutes; que tu n'avais même pas porté la moindre attention à mon existence.
Aujourd'hui, je le comprends - ah! tu m'as appris à comprendre bien des choses!-, le visage d'une jeune fille, d'une femme, est forcément pour un homme un objet extrêmement variable; le plus souvent, il n'est qu'un miroir, où se reflète tantôt une passion, tantôt un enfantillage, tantôt une lassitude, et il s'efface si vite, comme une image dans une glace, qu'un homme peut sans difficulté oublier le visage d'une femme, d'autant mieux que l'âge y fait alterner l'ombre et la lumière et que des costumes nouveaux l'encadrent différemment.
Les résignées, voilà celles qui ont la véritable science de la vie.

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20 mars 2011

Melody Gardot

Coup de coeur musical pour cette chanson, je vous la laisse découvrir...

 

20 mars 2011

Miroir mon beau miroir

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2 mars 2011

Une chanson

28 février 2011

Adieu Madame Girardot

Emotion, tristesse, que dire de plus face au départ d'une telle artiste...?

Que la maladie d'Alzheimer détruit tout, tout sauf l'amour...

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26 février 2011

Le telegramme.com

Arthémuse. 300 spectateurs pour une histoire de famille

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Les trois jeunes comédiens, Sarah Biasini, Rachel Arditi et Bertrand Combe, un casting sans faute, choisi par Salomé Lelouch, pour interpréter sa pièce «Qu'est-ce qu'on attend», ont été longuement applaudis, samedi soir, à l'Arthémuse.

Un public conquis par le jeu des comédiens

Conquis par le jeu tragi-comique des acteurs, sensibles à leur notoriété et à leur charme, les 300spectateurs n'ont pas perdu une miette de cet imbroglio familial, concédant «On a tous des histoires de famille». Celle de cette fratrie est particulièrement réussie: Ludivine est-elle réellement la soeur de Laurent et de Marie? Et Jeanne, la mère de ces derniers, aurait-elle une autre fille? Le passé va-t-il les obliger, lors de l'inventaire dans la maison familiale délabrée, à enquêter sur la vie du père, veuf et amnésique. Tout est en mouvement, le rythme est rapide, les dialogues solides, et de rebonds en surprises, Salomé Lelouch opte pour la sortie jubilatoire et la chanson de Ray Ventura, «Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux?». Les histoires de famille émaillent le cinéma et le théâtre, «mais on se dit que ce n'est pas si grave, on peut aussi en rire!», avoue Rachel Arditi. «Et on survit», reconnaît Sarah Biasini.

«Une écriture pour les acteurs»

Les trois acteurs, heureux dans leurs rôles, spécifient: «Salomé Lelouch crée des personnalités assez riches et pas uniformes; elle a une écriture pour les acteurs et une direction très précise». La jeune génération d'acteurs a des projets. Rachel Arditi vient de terminer le tournage du «Petit Poucet», par la réalisatrice Marina de Van, et tous rêvent de voir pousser un jour «un arbre à rôles» où les comédiens viendraient à la cueillette.

 

 

21 février 2011

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10 février 2011

Césars 2011

L'affiche de la 36ème Cérémonie des César met à l'honneur l'actrice Romy Schneider. Pour cette 36ème Cérémonie des César, l'Académie des arts et techniques du cinéma a décidé de faire figurer Romy Schneider sur l'affiche. Un visuel qui promet d'entrer "dans l'histoire du cinéma". A raison puisque la photo est extraite du tournage du film inachevé L'Enfer d'Henri-Georges Clouzot en 1964 cesars_2011

Disparue en 1982, à l'âge de 43 ans, elle est la première lauréate du César de la meilleure actrice en 1976 pour L'Important c'est d'aimer d'Andrzej Julawski. Présidée par Jodie Foster et animé par Antoine De Caunes, la Cérémonie se tiendra le 25 février prochain au Théâtre du Châtelet à Paris.

source : l'Express.fr

8 février 2011

Exposition Romy Schneider

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 le site de l'exposition : http://www.exporomyschneider.com/

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Après BB, Boulogne va célébrer Romy

Forte du succès de l’expo Brigitte Bardot, Boulogne-Billancourt accueillera cette année une manifestation centrée sur Romy Schneider, qui a aussi fréquenté les studios boulonnais.

Le succès de la rétrospective consacrée à Brigitte Bardot l’an dernier (plus de 90000 visiteurs) ne pouvait rester sans suite. Aussi, en novembre, le MA 30 (musée des Années 1930) servira de décor à une exposition dédiée à une autre étoile du septième art : Romy Schneider. Le public pourra découvrir ou redécouvrir la carrière de la comédienne qui a touché le cœur des Français par son talent, sa beauté et sa sincérité.

Un événement qui illustre la politique culturelle de la ville, renouant avec son passé cinématographique.

 

« Je remercie Pierre-Christophe Baguet, le député-maire, et Pascal Fournier, son adjoint à la culture, d’avoir eu la volonté de s’inscrire dans un cycle », se réjouit Tristan Duval, le PDG de la société Akouna, chargée de monter la manifestation, et déjà aux commandes de celle qui retraçait les « années insouciance » de BB. Avec Romy, les organisateurs ont choisi une artiste qui a, elle aussi, bien connu les studios de l’avenue Jean-Baptiste-Clément. En 1964, elle y a préparé le tournage de « l’Enfer » pendant six mois sous la direction d’Henri-Georges Clouzot.

Clap de fin en février 2012

L’expo Romy Schneider, dont le clap de fin retentira dans les derniers jours de février 2012, trente ans après sa disparition, expliquera comment la native de Vienne (Autriche) a incarné une époque et l’évolution des mœurs et de la société française. « Grâce à un partenariat avec la cinémathèque de Berlin, nous allons recréer les années Sissi, qui symbolisent une Allemagne se relevant de la Seconde Guerre mondiale, explique Tristan Duval. Nous montrerons la robe de Sissi et des clichés du tournage. Romy personnifie la réconciliation entre Allemands et Français. »

« Nous voulons immerger les visiteurs dans un univers plus grave que celui de Brigitte Bardot. Romy a vécu un destin plus difficile, mais peut-être a-t-elle plus touché les gens en raison de sa fragilité. »

Le journaliste Jean-Pierre Lavoignat se chargera de mettre en scène le parcours visé par Sarah Biasini, la fille de Romy. « Nous avons sollicité Sarah, qui a donné son accord, précise Tristan Duval. Grâce à elle, nous pourrons montrer des photos jamais publiées, des objets personnels qui touchent à l’intime et au sacré de sa mère. » Sous la nef de l’espace Landowski, une boutique proposera des produits parmi lesquels un livre du journaliste ami des stars Henry-Jean Servat. « Nous ne connaîtrons pas les mêmes déboires qu’avec l’entourage de BB », soupire Tristan Duval, en délicatesse avec l’amie des animaux pour une histoire de produits dérivés.

Le Parisien

 

7 février 2011

Midi Libre

Sarah Biasini affiche son talent et sa personnalité



La pièce de Salomé Lelouch, présentée vendredi soir au théâtre de Tarascon, avait de quoi ravir le nombreux public qui emplissait la salle.

  Qu'est-ce qu'on attend ? mettait en scène une réunion de famille, qui, au fil de son déroulement, nous a fait glisser de la drôlerie vers l'émotion, affichant d'amusants souvenirs d'enfants qui évoluent vers un drame familial.

Et si, pour les protagonistes, il s'agit d'un week-end qui va bouleverser leur vie, pour le public, il se dégage de cette pièce une atmosphère qui joue sur toute la palette des sentiments familiaux, tantôt oppressante, tantôt tendre et rassurante.

La performance de Sarah Biasini est admirable, parvenant, au fil de la pièce, à nous faire oublier son incroyable ressemblance avec sa mère, Romy Schneider, pour simplement nous attacher à son personnage de douce mère de famille, encore pleine d'une touchante innocence enfantine.

Et c'est sur l'air optimiste de la célèbre chanson de Salvador,   Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux ?, fil conducteur de cette réunion familiale riche en rebondissements, et remarquablement interprétée, que s'achève une pièce à voir absolument.   

la chanson Qu'est-ce qu'on attend est de Ray Ventura (1937)

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