Chez Field
Emission enregistrée le jeudi 12 mai au Lycée Marie de Champagne de Troyes, les élèves participant à celle-çi ayant vu la pièce le mardi précédent.
Emission enregistrée le jeudi 12 mai au Lycée Marie de Champagne de Troyes, les élèves participant à celle-çi ayant vu la pièce le mardi précédent.
Pour mieux connaitre Frédéric Andrau, rendez vous sur son blog : http://www.fredericandrau.com/index.html
ainsi que sur la "page" suivante : http://www.agencesartistiques.com/artiste.cfm/82750-Fr&
Cet acteur "élégant", tout en finesse et en don de soi a un parcours théâtral et cinématographique jalonné de beaux succés. Et, je ne doute point que Lettre d'une Inconnue ne vienne s'y ajouter !
Le mardi 17 mai (nuit du 16 au 17), Sarah Biasini sera une des invitées de Michel Field sur le plateau de son émission Au Field de la Nuit. On ne peut s'empêcher de regretter l'heure tardive de sa diffusion : 00h55 mn !
site de l'émission : http://www.tf1.fr/au-field-de-la-nuit/
Un homme reçoit une lettre d’une femme qu’il ne connait pas. Pourtant, il l’a rencontrée, l’a étreinte et même donné un fils mais il ne le sait pas. Par cette lettre elle lui révèle tout son amour, sa passion dévorante, exaltée et pure qui l’amènera à la mort.
Quand la salle se fait scène
La salle du Petit Mathurins offre en son entier une scène à Sarah Biasini. Christophe Lidon, le metteur en scène la fait jouer parmi les spectateurs pour une part. Cette situation pour un comédien n’est pas des plus aisées. Avoir le spectateur près de soi rajoute à l’intériorisation nécessaire du personnage dans son esprit mais aussi dans son corps.
Une adaptation à deux voix
L’adaptation donne une perspective en trois dimensions de cette lettre puisque les personnages se racontent mais aussi s’interpellent et s’interrogent. une scénographie de lumières, deux personnages, deux voix, un texte. Un joli moment où la comédienne exprime un jeu à la fois physique et sensible.
source : http://www.toutpourlesfemmes.com/conseil/
L’art nous délivre de façon illusoire, de cette chose sordide qu’est le fait d’exister...
En art, il n’y a pas de désillusion, car l’illusion s’est vue admise dés le début.
Le plaisir que l’art nous offre ne nous appartient pas, à proprement parler :
nous n’avons donc à le payer ni par des souffrances, ni par des remords...
Par le mot art, il faut entendre tout ce qui est cause de plaisir sans pour autant nous appartenir : la trace d’un passage, le sourire offert à quelqu’un d’autre, le soleil couchant, le poème, l’univers objectif.
Posséder c’est perdre.
Sentir sans posséder, c’est conserver, parce que c’est extraire de chaque chose son essence.
Fernando Pessoa
pour les fins d'aprés-midi ensoleillées, les terrasses de café, les cigarettes consumées et les paroles échangées. pour ce que l'on n'a pas dit car le soleil aurait été voilé et le regard inquiet. pour juste dire merci ... un peu de musique, voilà tout ce que je peux offrir...